« L’espérance n’est pas une « petite vertu » dont on se demande parfois l’utilité.
Elle est la grande espérance chrétienne qui s’est répandue dans l’antiquité comme une traînée de poudre et qui a désenchaîné les hommes et les femmes, confrontés à leur inexorable finitude.
Non seulement nous avons toute la vie devant nous, au-delà de notre mort, mais cette vie est magnifique, bienheureuse car immergée dans l’amour de Dieu.
Avons-nous le grand désir de connaître Dieu, d’être en sa Présence, d’être aimés infiniment ? Alors ce désir sera porté par notre espérance, celle qui ne trompe pas. »