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Eglise Saint-Remacle

Ouvert tous les jours de 8H à 19H00

Horaire des célébrations

Messes dominicales:
Samedi: 18h00
Dimanche: 09h30
En semaine
lundi, mardi, jeudi: 18h00

Vendredi : 8.30
Adoration : le lundi après la messe du soir

Baptêmes :                                        4ème dimanche du mois à 14h30

MARCHE

Chef-lieu d’arrondissement, la ville de Marche a vu sa population fortement augmenter avec la fusion des communes (1975-77). Son nom dérive du latin marca (limite), puisque le petit cours d’eau appelé « la Marchette » était jadis la frontière entre les comtés d’Ardenne de de Huy. Dans ses remparts tracés en quadrilatère, la ville se développe au 14e siècle.
Les efforts des dernières décennies ont réhabilité le centre urbain en mettant en valeur diverses constructions des 17e et 19e siècles, notamment : l’ancienne Halle (face à l’église, 17e siècle, devenue Hôtel de ville puis restaurant), la Maison Jadot (17e-18e siècle, rue du Commerce, devenue le Musée de la Famenne), l’ancien couvent des Carmes (rue des Carmes, 17e siècle), l’ancienne église des Jésuites (rue des Brasseurs, 1732-1740) reconvertie en complexe hôtelier.

Eglise Saint-Remacle

L’église tire son nom de l’abbaye Saint-Remacle, de Stavelot, qui était propriétaire des lieux du 9e au 11e siècle. Témoin de l’école gothique mosane dans la région, l’église (vers 1500) offre une architecture remarquable. Monument classé, elle présente un plan de composition simple et lisible, avec une robuste tour (chronogramme de 1715) surmontée d’une flèche (reconstruite en 1818-20) en forme de cloche surmontée d’un bulbe.
Datant du bas moyen-âge, le gros oeuvre de l’église montre les influences du gothique flamboyant de cette époque, avec déjà une inspiration Renaissance. Encore visibles sur beaucoup de piliers, de nombreuses marques gravées servaient à l’origine de repères quant au mode d’assemblage des pierres et à l’identité des ouvriers qui les avaient façonnées.
A observer, à la retombée des arcades et des nervures, une collection de têtes sculptées dont beaucoup ont été remplacées au 19e (façade sud) et 21e siècles (façade droite).

A observer également : un bénitier mural gothique de 1514, un aigle lutrin (1763), des statues en bois polychrome des 15e et 16e siècles.

 

 

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Le « Monument » et la Chapelle de la Trinité


Le site du « Monument » est un ancien lieu de pelerinage qui pourrait avoir été un relais aujourd’hui disparu sur les chemins de Compostelle .

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Chapelle

Chapelle Notre-Dame de Grâce
De l’autre côté de la ville, la chapelle Notre-Dame de Grâce, au bout de la rue du même nom, est une chapelle vôtive construite en 1652-1700, avec en vis-à-vis à quelques pas, la petite chapelle du Christ.

Chapelle du Sacré-Coeur
Edifiée en 1947 à proximité de la gare, en reconnaissance de la protection providentielle de la paroisse lors des évènements de la fin de la guerre 1940-1945.

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