Le secteur paroissial de Somme-Leuze vous accueille

Abbé Jean-Pierre BAKADI MANATA
Route de France, 5
5377 BAILLONVILLE
086/32 20 49

spsleuze1@gmail.com 

Somme-Leuze

Contact paroissial pour Somme-Leuze :
Benoit KALEN
0479 32 91 15 Rue du Pays du Roi

Horaire des célébrations

messe dominicale :
Samedi veille du 1er, 3ème et 5ème dimanche 18h00

SOMME-LEUZE

Paroisse (succursale) : rétablie en 1808, Diocèse de Namur en 1808. Doyenné de Durbuy en 1837, puis de Barvaux-sur-Ourthe en 1933 et de Marche en 1979.
Secteur de Somme-Leuze en 1979, Commune de Somme-Leuze, avant et après la fusion de 1977.

La Somme  » (anc. Suminara 950) rivière qui prend sa source a Barvaux·en-Condroz et se jette dans l’Ourthe a la barrière de Petit-Han a donné son nom au village.
Sol: schiste, argile et calcaire au NNO.
Superficie; 1250 ha.
Altitude; 195 m au seuil de l’ég1ise, point culminant 293 m au Doyard.
Hameaux; Somme, Leuze, Somal.

Patron de la paroisse Saint Remy.
Eglise St-Remy :
reconstruite par la fabrique en 1869-1870 (A.R. 21. 7.1868), sur un terrain acquis par la commune en 1868.
Remplacement de l’ancienne. Travaux entrepris par Ninane d’Ocquier qui ne peut terminer les travaux, et ce sont les paroissiens qui la terminent.
Vaste église de style roman dit de transition (1869), de style néo-roman construite en 1870. Consacrée en 1872. Des reliques de Saint Clément et de Saint Félix se trouvent dans le maitre-autel.
Autel latéral a retable, monogramme de Jésus, vers 1890, néo-roman, chêne. Cloche par Causard, de Tellin (d’après insc.), figure de sainte, inscr. aux noms de Joséphine Jamotton et Émile Bochenville(?), datée de 1900, bronze (plus en place).
Fonts baptismaux confectionnés dans un ancien pilier de l’église primitive.

Presbytère : rebâti par la commune en 1848.

Baillonville

Contact paroissial pour Baillonville :
André VANOVERSCHELDE
084 31 44 59

Horaire des célébrations

messes dominicales :
Le 2ème et 4ème dimanche à 11h00

BAILLONVILLE

 En wallon : Baionveye. Est-ce « Bagilonis villa » ? Ferme de Baillon ou doit-on comprendre baillon comme un diminutif de « bail » = enclos? [Carnoy] Sol : schiste, très accidenté. Commune située dans un vallon. Superficie : 1434 ha. Altitude : 182 m au seuil de l’église. Point culminant aux « 4 Tilleuls » 259m. Point de vue sur le village de Heure à droite et les forêts d’Ardenne à gauche et Drève de Waillet 280 m. Hameaux : Rabozée.

L’église Saint-Hubert :
romane, fort remaniée et agrandie au 18ème siècle, restaurée en 1838-1839. Placement de neuf pierres tombales anciennes contre les murs intérieurs (A.R. 28.8.1922). Aménagement intérieur en 1966. Orgues, 1975.
La chapelle Saint-Hubert était primitivement la chapelle castrale des seigneurs de Bail­lonville. Dès le XII’ siècle, la famille de Waha obtient l’avouerie du ban de Fronville et de ce fait, reçoit en fief la terre de Baillonville.
Peu après leur implantation, les Waha bâtissent près du donjon primitif, la chapelle Saint-Hubert, qui conserve encore des parties romanes. Au XII’ siècle, lors de la division paroissiale, le village de Baillonville est partagé en 2 paroisses, Waillet, filiale de Heure, créée par le chapitre cathédral de Liège, et Heure, dont le village a toujours dépendu.
Cette partie de Baillonville, la plus petite représente 7 maisons en 1603.
Baillonville et le hameau de Rabozée ont dépendu spirituellement des paroisses d’Heure et de Waillet jusqu’en 1834, date de l’Arrêté Royal érigeant l’église de Baillonville en Chapelle indépendante.
Aménagement intérieur en 1966 par Louis-Marie Londot de Namur. Plafond orné de stucs représentant des étoiles et des rosaces. Tabernacle mural en calcaire provient de la transformation en 1966 d’une niche à créden­ce du 16″ s. Autel majeur, retable fixé au mur du choeur 1755, bois polychrome 1966 Londot (table et tabernacle plus en place).
Autel face au peuple, pied provenant des anciens fonts baptismaux, vers 1840, table pla­cée en 1966, calcaire.
Confessionnal 1856 bois polychrome
Nombreuses dalles funéraires : dans le porche de la chapelle, dans le choeur. Notamment la pierre tombale de Jean de Waha en pierre de Namur; écusson frappé aux armes de Waha-Namur.
Les blasons sculptés de cette oeuvre d’art comme ceux des autres pierres ont été marte­lés pendant la révolution liégeoise en 1794


 Seigneurie de Rabozée.

Presbytère :
maison vicariale non aliénée après 1789, puis la commune a échangé celle-ci et bâti un presbytère en 1839.

Circonscription cantonale de Marche, selon un arrêté du Comité de Salut Public du 14 fructidor an III (31-8-1795). .Arrêté du 17 frimaire an X (8-12-1801) et Circonscription des can­tons de justice de paix, département S-et-M, arrondissement communal de Marche, canton de Marche.br> C’est à Rabozée que les soldats belges subissent le premier choc des troupes allemandes : 252 morts dans la terrible nuit du 5 au 6 août 1914.

Chapelle Saint-Lambert de Rabozée
La chapelle était une chapelle castrale des seigneurs de Rabozée. La chapelle remonte à l’origine de la seigneurie. La grosse dîme de Rabozée appartenait primitivement au chapitre de Huy, puis a été inféodée en partie aux seigneurs de Rabozée, qui la possédaient au 14′ siècle. Par la suite, les droits paroissiaux sont passés au chapitre cathédral, patron de l’église de Waillet, dont dépendait Rabozée.
En 1747, la dîme est pour moitié au chapitre cathédral et pour moitié au seigneur de Rabozée. La chapelle Saint-Lambert est reconstruite et consacrée en 1685. Elle est détruite en 1886.
En 1686, elle est à charge des paroissiens; il y a un cimetière.
Le musée diocésain, à Namur abrite la Vierge de Rabosée, parce qu’elle évoque le maître du Calvaire de Naha et la tête du Christ de l’ancien pont de Han-sur-Lesse, puis la statue de saint Lambert (16è siècle)

Heure

Contact paroissial pour Heure :
Louis JORIS
086 32 20 52
Moressée, 17

Horaire des célébrations

messes dominicales :
Le 2er et 4ème dimanche à 9h45
Le 1er, 3ème et 5ème dimanche à 9h45 adal
Pour les 5ème dimanche du mois, à 9h45, il y a alternance entre Heure et Noiseux

HEURE

Paroisse (succursale) :
rétablie en 1808. Diocèse de Namur en 1808. Doyenné de Marche-en-Famenne en 1837. Secteur de Somme-Leuze en 1979. Commune de Heure, puis de Somme-Leuze en 1977. Démembrement : paroisse de Baillonville en 1842.
Eglise Notre-Dame (paroisse St-Lambert) : tour de 1611, classée le 12.11.1954. Nef transformée au 18ème siècle. Allongée de deux travées, choeur déplacé dans la tour et ajoute de deux sacristies en 1838. Orgues, 1973.

Presbytère : 1778-1780.

La 1ère église d’Heure doit dater de l’an 680, époque de l’évangélisation par divers hommes d’église dont Saint-Lambert. Mais, officiellement, la paroisse date de 952.
Cette toute 1ère église se situait très probablement au même endroit que l’actuelle, c’est à dire sur ce plateau schisteux, et était de dimensions fort modestes tout en ressemblant à une chapelle avec le clocher incorporé au bâtiment stricto sensu. La tour, de style roman, est arrivée plus tard et si elle porte le millésime 1611, cela n’exclut nullement une construction antérieure et que ce millésime corresponde à une transformation majeure.
En observant bien les murs, on remarque que cette tour est, en fait, indépendante du corps actuel de l’église. En effet, la nef unique est plus large que la tour et il n’y a pratiquement pas d’ancrages de maçonnerie entre les deux parties importantes de l’édifice religieux. Dans un croquis grossier mais encore assez clair du curé Jean-Joseph Piéret, on remarque que la tour est nettement séparée de la nef (1780).
Les trois premières travées en commençant de la tour, portent le millésime 1774 taillé dans chaque clef de voûte. Les deux autres travées sont la conséquence de l’agrandissement de la nef en 1838-1841 (il a fallu presque 3 ans de travaux)

Les chapelles d’Heure.

Les chapelles sont des édifices religieux d’ordre secondaire qui ne sont pas la propriété du clergé ou de la commune, mais bien d’un seigneur, d’une ou plusieurs familles, d’un dignitaire de l’Église, d’une école, d’une association, d’un château (chapelle castrale) ;
Chapelle SS. Monon, Antoine et Lambert : sur la grand’route, au thier Samson. Recouverte partiellement de bardeaux de zinc, la plus ancienne du village (1769),
Chapelle St-Antoine : belle construction en pierre datant de 1910, bâtie un peu en retrait par rapport à la route, par les familles Modave et Evrard, sur la route de Barvaux,
Chapelle N.-D. de Walcourt : elle se dresse élégamment sur l’ancien chemin menant à Nettine depuis 1860,
Chapelle St-Donat : fait partie du paysage de la route de Moressée depuis la fin du 19ème,
Chapelle N.-D. de Lourdes :dans la rue du Stipy, petite chapelle datant de 1929,
N.-D. de la Charité (appelé aussi Monument de la Paix) : monument  » moderne  » construit pendant la guerre (1942) sur le terrain en coin offert par la famille Dony afin de remercier le Ciel d’avoir épargné le village lors de l’invasion allemande de 1940. Parallèlement, cette même famille offrira plus tard le terrain qui servira à la construction de la salle des fêtes,
Chapelle Ste-Gudule : le long de la grand’route et sur le coin formé par la rue des Saules. Construction des années 50,
Calvaire : construction pas très élégante située en haut de la rue du Stipy sur le coin avec la rue Bernauthier. Reposoir lors de la procession du St-Sacrement. Érigé vers 1950 par le comité des prisonniers de guerre.

Hogne

Contact paroissial pour Hogne et Waillet :
Jean-Pol MAILLEN
084 31 34 82

Horaire des célébrations

messe dominicale 
Samedi veille du 2e dimanche: 18h00

HOGNE

Chapellenie :
A.R. 19.6.1845. Diocèse de Namur et paroisse de Waillet en 1808. Doyenné de Marche-en-Famenne en 1837. Secteur de Marche en 1979. Commune de Hogne, puis de Somme-Leuze en 1977.
Hogne entre en composition dans Behogne (Rochefort) et Mehogne (Sinsin), Pour Camoy, Hogne dérive du nom d’un homme franc; ce serait une villa de Hodo.
Selon Tandel Hogne (romain) = colline, hauteur.
Sol: schiste coupé de bancs d’argile, la couche arable est mince.
Superficie: 467 ha, 531 ha en 1857, 530 bonniers en 1832
Altitude: 220 m au seuil de l’église.
Hydrographie: plusieurs cours d’eau qui coulent vers Serinchamps ou Waillet.
Situation: village situé dans un vallon.

Chapelle St-Etienne :
Petit édifice de style Louis XIV construit fin du XVII° siècle, milieu 18ème siècle, réaménagée en 1848. Sacristie ajoutée en 1855, Un mur a été reconstruit en 1881, réaménagée intérieurement en 1967
Maison du chapelain : vieux bâtiment désaffecté vers 1885.
Figure comme chapelle sur la carte de l’ancien doyenné de Rochefort au 18ém° siècle.
Autel a retable du XVII° s dont la table a été raccourcie en 1967, bois peint en partie doré, peinture « le Christ ressuscité » signé Guido Casci 1967.
Sculptures Christ en croix 16é gothique chêne, montre le Sauveur les bras presque horizontaux, la chevelure a été en partie refaite, la couronne a été écourtée.
Saint Etienne 18é bois polychrome
Saint Joseph 18é bois polychrome
Saint Pierre pape l8° bois polychrome
Saint Roch 1er moitié 19° bois polychrome.

Nettine

Contact paroissial pour Nettine :
Chantal BOON
0495 32 58 03
Rue du Monty, 1

Horaire des célébrations

messe dominicale 
Samedi veille du 4e dimanche : 18h00

NETTINE

La forme ancienne de ce vocable peut être interprétée comme un dérivé du nom germanique Nantho suivant Camoy qui estime une dérivation du celtique nant = vallée comme peu probable. Ce serait donc l’endroit habité par le germain Nantho.
D’aucuns écrivent Nettines, Nettinnes.
Sol: argile et schiste, marécage, rocailles terrain très inégal. Deux bancs de calcaire entre lesquels le ruisseau d’Heure a creusé son lit.
Nettinne Superficie: 604 ha., 567 ha 604 bonniers (1832)
Altitude: 238 m au seuil de l’église.
Hydrographie: 2 ruisseaux l’Eau-de-Nettine affluent de la Marchette et de Bois d’Alne.

En 1629, le curé et le maïeur de Nettinne demandèrent au Prieur du couvent des Dominicains de Liège d’instituer dans leur village une confrérie en l’honneur du Rosaire et promirent d’orner une chapelle de leur église paroissiale d’un tableau représentant les Mystères du Rosaire, le 3 novembre 1630 a été inaugurée a Nettinne la Confrérie du Très Saint Rosaire. Gilles de Bohyrs avait accompagné le cure et le vicaire de Nettinne a Liège pour solliciter l’érection de la confrérie, Son fils Nicolas eut la charge de premier tambour de la Confrérie.
Depuis 4 dévotions ont été introduites dans la Confrérie:
– en 1631, la dévotion pour les trépassés ;
– en 1702, la dévotion pour le Rosaire Perpétuel ;
– à la fin du 18éme siècle, la dévotion à la Maternité de Marie ;
– en 1877, la dévotion du Rosaire Vivant.

La chapelle avait ses propres ornements sacerdotaux et des objets liturgiques. La Vierge était « habillée », elle possédait notamment des dentelles d’or et trois « belles couronnes ». Au 18éme siècle, des tableaux représentant les mystères de Rosaire ont été exécutes par un peintre namurois et sont encore en place ; Au 18è siècle toujours, la dime est reprise par le chapitre de Visé.
L’abbé de Saint Hubert doit chaque année au curé 40 sacs d’épeautre et d’avoine, à prendre hors du décimage de Sinsin, qu’il est tenu de relever du seigneur temporel de l’endroit par-devant la cour féodale.
Paroisse médiane, dédiée a Saint Martin, démembrée de Heure; la titulature très ancienne de saint Martin, l’évangélisateur des Gaules et le destructeur des cultes païens, est caractéristique.
Patron: Saint Donat : L’ég1ise aurait été construite suite au vœu du seigneur du lieu à son retour de croisade. Son fondateur l’avait dotée de telle manière qu’elle put être desservie par un curé ou Vesty nommé par le seigneur. Ensuite la cure constitua un bénéfice dépendant du chapitre de Saint Lambert a Liège. Au 15è siècle, elle bénéficie d’une centaine de fondations assurées par des rentes.

Noiseux

Contact paroissial pour Noiseux :
Anne-Marie BOSQUEE
086 32 26 28

Horaire des célébrations

messes dominicales :
dimanche à 9h45

NOISEUX

Paroisse (succursale) : rétablie en 1808. Diocèse de Namur en 1808. Doyenné de Marche en 1837. Secteur de Somme-Leuze en 1979. Commune de Noiseux, puis de Somme-Leuze (et de Marche-en-Famenne pour la partie située au Sud de l’Eau d’Heure) en 1977.
Eglise N.-D. de l’Assomption : reconstruite par la fabrique en 1874 (A.R. 17.4.1874), sur un nouvel emplacement acquis par la commune. Orgues, vers 1946.
Presbytère : bâti par la commune en 1890. La fabrique a vendu l’ancien bâtiment, pour contribuer à cette nouvelle construction.
Les habitants sont dits des cwerba, des corbeaux, l’origine de ce sobriquet est inconnue.
Sol; schiste et marne, terrain accidenté; limoneux dans la vallée de l’Ourthe.
Superficie; 1194 ha.
Altitude: 179 m au seuil de l’église.
Hameaux; Petite-Noiseux, Basse-Adam.
Noiseux est détachée du ban de Fronville en 1812, date de son erection en commune.

La paroisse est érigée en quarte-chapelle en 1585, dépendante de Fronville, Diocèse Liège, Namur (1802)
Patron de la commune: Saint Antoine (17 janvier).
Il existe encore de nombreuses maisons et des granges à colombage. Actuellement certaines sont restaurées. La partie sud de Noiseux a subi des expropriations, entre 1974 et 1975, lors de l’implantation du camp militaire Roi Albert à Marche.

L’ég1ise primitive aurait été construite par les Sarrasins. (c.-à-d. anciens ou mystérieux). L’église actuelle a remplacé celle construite à la fin du 16è siècle; Patronne: Notre-Dame de l’Assomption.
Édifice a trois nefs de style renaissance construit en 1874 par l’architecte nivellois Coulon, d’après le modèle de l’église de Ramillies. Bénite en 1875 par le doyen de Marche, l’église est consacrée le 25 juin 1877 par Monseigneur Gravez, évêque de Namur.
Autel (latéral sud ) a retable, table avec Instruments de la Passion; croix et fouet du 18é s. chêne en partie doré , statue de St Antoine abbé en bois polychrome
Autel majeur avec scènes de la passion en relief? Jésus est condamné a mort, Jésus est charge de la croix, Jésus rencontre Véronique, Jésus est dépouille de ses vêtements, mise au tombeau,tabernacle avec Cœur Sacré de Jésus, trône d’exposition avec Agneau de 1’Apocalypse, Christ en croix et 2 anges adorateurs, vers 1875, chêne en partie doré et reliefs en terre cuite dorée.
Autel dessiné par 1’architecte Coulon dédié : à Notre-Dame de Lourdes, 1877 style renaissance bois peint en partie doré.
Statues: Ste Barbe, Christ En Croix, St Joseph, St Monon, St Roc}; Vierge a 1’Enfant avec globe vers 1875, Christ en croix néogothique.
Vitrail du chœur représente la Vierge de I ‘Assomption, style renaissance vers 1875.
Dimensions 35 m en hauteur et 35 m en longueur.
Au-dessus de la fenêtre du jubé, on peut lire « Marias advocate Noiseux Feliciter Erecta » érigée en l’honneur de Marie, patronne de Noiseux.

La cure a été construite en 1585.

 Sinsin

contact paroissial pour Sinsin :
Philippe BERHIN
083 63 37 67

Horaire des célébrations

messes dominicales :
1er, 3ème et 5 ème dimanche à 11h00

SINSIN

Paroisse (succursale) : rétablie en 1808. Diocèse de Namur en 1808. Doyenné de Marche en 1837. Secteur de Somme-Leuze en 1979. Communes de Sinsin-Petite et de Sinsin-Grande, devenues commune de Sinsin par décret impérial du 15.6.1812, puis commune de Somme-Leuze en 1977.
Note : le hameau de Mehogne et la ferme du Fourneau sont passés de la paroisse de Nettinne à celle de Sinsin par D.E. 29.3.1842.
L’endroit est connu par ses pierres à chaux. On peut donc partir de « calcinium » = carrière à chaux.
Sol: schisteux et calcaire.
Superficie 1435 ha. / 1394 ha 60a. en 1951.
Altitude; 239 m au seuil de 1’ég1ise.
Hameaux: Fourneau, Mehogne. Carrières de pierres à chaux.

Sinsin possède une chapelle en 1559, L’acte d’érection de la paroisse, en 1586, dit clairement qu’il existait a Petite-Sinsin (pago rninori de Sinsin), cad. Le centre du village actuel, de temps immémorial une chapelle appendice de Nettine.
Le 10 mai 1790, le cure, suivant en cela l’exemple de beaucoup de ses collègues, renonce à la dime.

Eglise St-Georges : 1775-1778,

, de style renaissance
, bâtie vers 1782, agrandie en 1852-1853, (A.R. 13.8.1871).En 1852, la nef est agrandie tandis qu’en 1853, une sacristie est érigée au chevet du chœur. En 1870, on démolit l’ancienne tour qui est remplacée par l’actuelle en style néogothique en 1871. En 1887, remplacement du toit et restauration de la charpente. L’édi1ice a été réaménagé intérieurement en 1972.
Autel majeur à retable, tableau avec Agonie au jardin des oliviers, tabernacle et trône d’exposition entre 1800 et 1850 bois marbre et doré, laiton et toile.
Banc de communion a balustres en chêne vers 1702, idem confessionnal ; Fonts baptismaux 19émc siècle, calcaire, laiton et cuivre ; Chaire de vérité 1800-1850, chêne ; Chemin de croix peint sur toile (1857).
Statues St Urbain/Martin pape, vers 1702, chêne Christ en croix, m. XIXéme, bois polychrome
St Georges terrassant dragon, XIXéme s, bois plâtre (plus a sa place)
St Georges terrassant dragon, XXéme s, chêne.

Chapelle de N.D. du Bon- Secours
La chapelle est maintenant privée, bien entretenue, et dotée d’un très bel autel en pierre du pays.
Presbytère : rebâti par la commune en 1922 (remplaçant un édifice datant au moins du début du 19ème siècle), désaffecté en 2001.

Waillet

Contact paroissial pour Hogne et Waillet :
Jean-Pol  MAILLEN
084 31 34 82
Waillet

Horaire des célébrations

messe dominicale 
Samedi veille du 3ème dimanche à 17h00

WAILLET

Paroisse (succursale) :
rétablie en 1808. Diocèse de Namur en 1808.
Doyenné de Marche en 1837. Secteur de Somme-Leuze en 1979, puis de Marche en 1984. Communes de Waillet et de Hogne, puis commune de Somme-Leuze en 1977. Dépendance : chapellenie de Hogne en 1845.
Les villages d’Heure et de Nettinne, éloignés de tout, étaient très arriérés, Waillet était enclavé dans des forêts de hauts chênes. Seul Hogne pouvait prétendre à plus de « civilisation » puisque traversé du Nord au Sud par un grand axe (future N4) amenant des nouvelles et des contacts divers entre personnes de différentes contrées. On ne sait guère de choses sur le premier millénaire de Waillet et de Hogne.
Eglise St-Pierre :
18ème siècle, choeur 1840, agrandie vers 1850. L’église est petite et n’a rien de remarquable. Le plafond est tombé en plusieurs endroits mais on va restaurer tout. La sacristie est suffisamment pourvue d’ornements.
Presbytère :
Le presbytère est ordinaire, il faut passer par la cuisine pour entrer dans les autres places. Il y a un grand jardin. Waillet est la meilleure succursale du canton. Le curé jouit de plusieurs prairies et terres. Il a un bois de deux bonniers, ou il a des coupes réglées, de sorte qu’il y trouve tout son chauffage.
ancien, rendu à la fabrique par donation van der Straeten-Waillet (A.R. 16.8.1872), rebâti par la commune en 1873 sur un terrain de fabrique. Celle-ci l’a désaffecté en 1983.

Il y a à Waillet un château appartenant à M Le Baron van der Straeten-Waillet.

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